Le mot du Président du Département de l'Hérault, Kléber MESQUIDA

La Société Générale mène depuis de nombreuses années une politique active de mécénat : une volonté forte d'engagement, incarnée à Montpellier par René Alary, Directeur régional des agences de l'Hérault Gard Lozère Sud Aveyron. Interview. Bouton : Découvrir

Pourquoi ce partenariat ?

Il était important pour la Société Générale de participer à la célébration des 800 ans de la Faculté de Médecine de Montpellier pour trois raisons :


• Notre fort ancrage territorial, avec près de 300 collaborateurs répartis sur tout le territoire Languedoc.
• Notre présence dans le secteur de la santé à travers le financement des investissements dans le secteur médical ainsi que les prêts que nous accordons aux étudiants en médecine, nombreux à Montpellier,
• La distribution des produits et services de la Banque Française Mutualiste à destination de la fonction publique (dont les fonctionnaires des hôpitaux).

Cette présence dans le milieu médical, auprès des jeunes et dans la fonction publique justifiait pleinement notre soutien à cet événement exceptionnel, dont l'impact déborde le cadre de Montpellier.

Que représente la Faculté de Médecine de Montpellier pour vous ? C'est une grande chance d'être dans une région qui compte la plus ancienne faculté de médecine au monde. Cette présence draine de nombreux jeunes, qui apportent une dynamique à la ville, et est un terreau fertile pour la recherche : c'est un laboratoire montpelliérain, en lien avec le CHU de Montpellier qui a mis au point le test salivaire EasyCov. La Société Générale en tant qu'acteur dans la cité est attentif à cet enjeu et veut soutenir le monde médical et la recherche. Nous avons participé à ce partenariat avant la crise sanitaire qui a montré que la santé est bien le sujet n°1 aujourd'hui. Inviter nos clients et nos collaborateurs dans le cadre prestigieux des bâtiments historiques de la Faculté de Médecine de Montpellier était une manière de montrer notre engagement. Malheureusement, la crise sanitaire a tout bouleversé. Mon plus grand regret : que Nostradamus n'ait pas prédit en 1520 ce qui nous arrive actuellement.